Couleurs en main, voyons comment les mariages prennent forme au jardin. En pratique, il y a quatre manières d’associer les couleurs.
Tout d’abord, l’approche monochrome qui, comme son nom l’indique, désigne une seule couleur. Pas de tons, ni de teintes.
Pour le type monochrome, le jardin blanc est sans doute le plus courant, suivi par le jardin jaune. Les autres couleurs, elles, proposent un défi, car la diversité des teintes et des tons est vaste. Dans les faits, les jardins monochromes sont davantage des exercices de style. Généralement, un jardin vivant se veut un jardin coloré. Enmariant différentes plantes d’une même couleur en différents tons, on obtient le camaïeu.On joue alors avec l’intensité des couleurs. Non loin de là se situe l’harmonie. Dans ce cas, on conserve sensiblement lamême intensité de couleur, mais on varie les teintes. Un rose clair, unmauve clair, un autremauve clair, etc.
Enfin, pour faire vibrer le jardin, il faut jouer avec le contraste. En théorie, on marie une couleur primaire avec sa couleur complémentaire, c’est-à-dire le mélange des deux autres couleurs. Toutefois, le contraste signifie simplement l’opposition de deux couleurs. Il peut même s’agir d’un contraste de tons, comme un jaune clair près d’un pourpre foncé.
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